Concours

Récit érotique

Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

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J’avais du mal  à croire ce que je vivais sur le moment. Mon futur Maître me permettait de toucher son corps. C’était qqch d’inespéré. Les yeux bandés. Je souhaitais voir, et j’appréciais de « voire autrement ». Avec les mains, avec la bouche, avec le nez. Je tremblais… Maître K me demandait si j’aimais. Je savais à peine répondre. Ce n’était pas la peine de répondre, mon corps répondait à la place de mes mots. Etait-ce un orgasme ? Sans même me toucher, juste en découvrant un corps… indescriptible, je ne pouvais y croire, et pourtant…

Je me souviens qu’il m’a demandé si j’avais déjà vécu cela… et sur le moment, c’était si intense que j’étais incapable de penser à d’autres amants. Oui je l’avais déjà vécu, il y a quelques années, les yeux bandés aussi, lorsque domination et soumission n’était encore pour moi que des mots. Des mots incompatibles avec le mot plaisir. Je me souviens à présent…

Mon futur Maître se montra très inventif pour la suite de nos jeux. Alors que j’avais toujours les yeux clos, il me menotta les mains. Curieux sentiment. La fraîcheur du métal sur mes poignets. Je pensais « pourvu qu’il n’aie pas oublié de prendre les clés ! » Je riais intérieurement, je frémissais de plus belle. J’étais dans une autre dimension. Il me demande de prendre sa grosse queue dans ma bouche, tout au fond. Vraiment j’en avais envie… J’en redemandais moi-même. C’était loin d’être un exercice facile, plus j’allais loin plus j’avais la rage de vaincre cette crainte d’avoir une réaction de rejet. C’est la raison pour laquelle je n’osais pas. Puis je me suis lancée… Je l’ai prise tout au fond de ma bouche. Ce fût le moins bon moment de tout l’après midi, car je l’avoue cette réaction de rejet a eu lieu. (Pardon encore Monsieur, même si vous m’avez déjà dit qu’il n’y avait pas de quoi…) Heureusement que j’avais pris soin de ne pas manger avant son arrivée. (Détail qui a son importance !)

Après que je me sois rafraîchie, j’ai poursuivi ma quête de la perfection. Je n’y suis pas encore. Mais il a promis de faire de moi la meilleure. J’y arriverai. J’aime ces instants.

 

Nous devons nous voire encore une fois au moins avant qu’il ne me permette de l’appeler « Maître ». En attendant, il m’a lancé un nouveau défi. Trouver une autre femme soumise pour un jeu à trois. Une femme que je ne connais pas. Qu’elle soit, blonde ou brune, cela lui est égal. Pourvu qu’elle ne soit pas maigre. Je vais mettre mes recherches en route cette semaine. Lectrices… si à tout hasard, vous êtes tentées… N’hésitez pas à me laisser un commentaire. Et je vais bien entendu  étendre mes recherches. Dans le prochain article, vous lirez un texte composé par Maître K.

A bientôt !

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

Je me réveille à l’instant…

Un rêve ? Une après midi ? Un instant ? Une éternité…

Je retire le bandeau qui est posé sur mes yeux. L’effluve des bougies éteintes envahit mon salon, le silence. Mon futur Maître s’en est allé comme il est venu, dans la plus grande discrétion !

Je me mets à mon clavier pour vous conter notre deuxième rencontre. Il était prévu que nous soyons trois. Mon amie n’a pas pu venir, hélas… ce qui n’a, en rien, limité la qualité de la journée. Je m’étais préparée selon le désir. Maquillée légèrement, vêtue d’une jupe courte, noire, et d’un petit haut moulant bordeaux. Je n’ai pas réitéré l’expérience des chaussures avec 15cm de hauteur, je n’en avais pas le cœur. Pour mille raisons. La première étant que mon cœur est encore près de celui qui me les avait offertes.Je me suis contenté d'une paire de bottes à talons, montante jusqu'au genou. Un régal avec cette jupe courte !

Mon futur Maître était arrivé à 11h47 très précisément. Une bouteille de Porto à la main. Il s’est installé dans le salon que j’avais décoré selon ses instructions. Fauteuils, chaises, bougies allumées… Il m’a prié de servir l’alcool puis le café, m’a détaillée, félicitée pour ma tenue et le respect de ses ordres.

Il m’a fait me lever et retirer mes collants. (Il est certain qu’il aurait préféré des bas) et remettre mes bottes ! Il m’a demandé si j’aimais être sa petite pute. J’aimais. L’excitation était omniprésente durant toute la séance. Il m’a bandé les yeux avec un petit foulard que j’avais préparé à cette attention, et m’a fait me pencher en avant pour m’administrer ma punition. (Souvenez-vous, je l’avais légèrement blessé durant notre première rencontre avec mes dents, tant ma bouche était avide de son sexe).

Après la première fessée, il m’a informé que la règle avait changé. Ca ne serait plus trois fessées auxquelles j’aurais droit après qu’il me semblerait que j’avais atteint mon seuil de tolérance à la douleur, mais cinq. Cinq fessées… j’avais déjà envie de dire stop. Je me suis pourtant laissé rougir les fesses encore un peu, car, si la fessée en elle-même n’est pas Le Plaisir, il est si bon de se sentir caressée, et d’attendre la suivante, les yeux bandés.

Au bout de quelques instants de ce traitement, il s’est assis sur le fauteuil, et m’a installé à ses pieds entre ses jambes pour lui raconter mon ressenti d’avoir les yeux bandés. Je crois que je n’ai pas su très bien l’exprimer sur le moment. C’est bien plus facile plus tard, et par écrit. De l’excitation certainement. Mais tous les autres sens sont en éveil, et c’est ceci qui est si stratégique. Comme si chaque pore de ma peau ressentait ce qui se passe dans la pièce, mon nez ne perd pas la moindre odeur. L’odeur de sa cigarette, l’odeur du porto, l’odeur de son sexe qui passe près de mon visage. Occupée à lui conter mon ressenti, il m’a ordonné de m’occuper de son sexe, juste en le sortant de sa braguette. Juste le toucher, le regarder (J’avais eu le droit de retirer le bandeau), le sentir, surtout ne pas le porter à ma bouche, c’était très difficile, j’en avais envie au plus haut point. Mais j’appréciais de ne pas en avoir le droit. Ca faisait monter en moi le désir. Ensuite il m’a accordé cinq minutes pour m’occuper de son sexe comme bon me semblerait. Cinq minutes,  pas une de plus. Je me suis appliquée à le sucer, le plus profondément possible. Il aimait.

Quand je pense que je ne supportais même pas l’idée de mettre un sexe entre mes lèvres il y a à peine trois ans… que je ne supportais pas l’idée de voir perler au bout d’un gland cette petite goutte du désir. Aujourd’hui je peux dire que je veux apprendre à offrir ce plaisir à un homme. Monsieur, soyez mon cobaye, pour votre plaisir et le mien. Enseignez moi, pour mon bonheur, et le bonheur de l’homme que j’aimerai un jour sans doute. Cet homme qui me demandera d’être son amie, sa femme, et sa maîtresse, tout ensemble. Je veux être la meilleure.

 

 

 

J’ai du ensuite remettre le bandeau, et Monsieur m’a accordé une « faveur ». J’avoue que c’était un instant très intense dans cette rencontre, il m’a prié de le déshabiller totalement. En commençant par ses chaussures, ses chaussettes. J’ai pu toucher sa peau très douce, et ses pieds... d’une finesse. C’est une partie du corps d’un homme qui n’avais guère d’importance à mes yeux auparavant, et que j’ai appris à apprécier, à sa juste valeur. Tel un torse, un visage, des fesses, ou un sexe.

Et en lui retirant ses chaussures, avec application, j’ai ri. Je me rendais compte que je faisais ceci au quotidien avec mes patients, et que je n’aurais jamais pensé que cela puisse faire l’objet d’un jeu sexuel. Il m’a demandé pourquoi je riais, je lui ai expliqué. Il a ri avec moi. C’est appréciable, de pouvoir exprimer mon ressenti dans un moment comme ça. Et je profite de ce journal pour remercier « Maître K » de m’accorder cela, de me considérer avant tout comme une femme, avec un passé, un présent, une autre vie. Une vie ou je domine, ou je me débat pour garder ma fierté, une vie ou je ne suis pas soumise, ou je ne suis pas SA SOUMISE.

Il m’a prié ensuite de lui retirer sa cravate, et de bien défaire le nœud. Une cravate se retire toujours totalement. (Je le savais Monsieur, et je suis ravie que vous ne fassiez pas partie de ces fainéants qui ne se donnent pas la peine de refaire leur nœud chaque matin, si vous me permettez de vous faire un compliment !)

Puis le pantalon. J’avais le droit de le toucher, de découvrir son corps, (certainement d’une grande beauté, je peux le deviner rien qu’au toucher) Juste de mes mains, sans le voir, toucher ses fesses, ses cuisses, sa peau. Cette peau d’une odeur incomparable. J’ai souvent pensé que les hommes qui ne se parfument pas sont négligés. Erreur de jugement.

J’ai eu ensuite le droit de déboutonner sa chemise. J’étais en transe contre ce torse, j’avais envie de titiller ses seins de le caresser partout, j’avais envie qu’il me prenne. Séance tenante. Juste du désir… Depuis combien de temps n’ai-je pas fait l’amour ? Plusieurs semaines… Il me rappelle qu’il est le Maître, et qu’il décidera. Je me rebelle…

-         Monsieur, puis-je quand même exprimer mon désir, même si c’est vous, qui en fin de compte, décidez de tout ?

-         Oui, tu peux…

 

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Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

../.. Je n’avais pas encore tout à fait terminé mon thé, il m’a ordonné de me lever, et de lui trouver des foulards, noirs de préférence. Il m’a complimenté sur ma tenue qui lui plaisait beaucoup, et a ajouté que j’avais bien fait de me vêtir de noir. Que c’était sa couleur préférée…

 Je suis revenue de ma chambre avec 3 foulards en main. Un long noir tacheté de blanc, un plus petit noir également, et un grand bleu. Il a totalement ignoré le bleu, et s’est servi du petit noir pour le poser sur mes yeux. Il a fait un nœud relativement serré derrière ma nuque et s’est assuré que je ne voyais rien. Le fait d’être dans le noir le plus total me faisait manquer d’équilibre, perchée sur mes escarpin de 15cm… D’autant plus qu’il me faisait me tourner pour m’inspecter sous toutes les coutures. Il a commencé de déboutonner mon haut, et m’a prié de le retirer car les boutons semblaient être cousus. Je me suis exécutée. J’étais là en jupe fendue et  bustier au milieu de mon salon, les yeux bandés, devant un homme que je connaissais depuis 35 minutes… Une vraie folie… mes idées se bousculaient, je pensais à mille choses. A mon travail, à ma famille, à mes amis, je me disais que j’étais complètement sonnée, et en même temps, quelque chose me poussait à continuer… Je me souviens même avoir eu peur l’espace d’un instant. Je me disais, il se pourrait que ce soit un maniaque, qu’une fois qu’il m’ait à sa merci, il me fasse faire n’importe quoi, et me tue. S’il est un conseil que je peux donner à toute novice, c’est de ne pas se lancer dans une pareille aventure sans avertir préalablement une personne de confiance. (Sans donner de détails, juste lui dire; « Si je ne t’ai pas appelé d’ici à ce  soir, cherche à me joindre, et si je ne réponds pas, fais-toi sérieusement du soucis pour moi, je vais faire un truc fou…) Ca peut paraître ridicule, et pourtant, la folie est partout dans ce monde… partout !

 Je n’ai pas eu le temps de penser très longtemps à tout ça,  je sentais son souffle autour de moi, je le sentais tourner autour de mon corps, il me demandait si je percevais sa queue près de mon visage, j’ai avoué que non. Par contre il fumait une cigarette, et me soufflait la fumée contre mon visage. J’ouvrais la bouche à la recherche de la cigarette, ou à la recherche de sa queue. Puis soudain, d’un geste, il a arraché ma jupe, me laissant en bustier et string.

 Il m’a prié de me pencher sur la petite chaise de bureau, et m’a dit que j’étais sa petite salope, sa petite pute, il m’a demandé de le répéter. « Je suis votre petite pute, et j’aime ça Monsieur ». Il m’a demandé de le dire plus fort en me gratifiant de nombreuses claques sur mes fesses qui devaient rougir déjà un peu… j’avais chaud, et des frissons en même temps. Je me sentais très excitée, et pourtant, chaque fois qu’il passait sa main entre mes cuisses pour vérifier, je ne mouillais presque pas. Juste à peine… Encore une bonne raison de me fesser encore. J’aimais.

 Je ne sais plus à quel moment il a mis sa queue dans ma bouche. Il m’a demandé de le sucer, ce que j’ai fait avec application. Jusqu’à ce qu’il m’oblige à la prendre jusqu’à la garde. Je résistais tant bien que mal, je savais que j’aurais un mouvement de rejet s’il atteignait le fond. Je feintais, tirant la langue et déposant de la salive sur son gland. Je ne sais plus non plus après combien de fessées j’ai osé lui dire « Stop ». Plus que trois… Je sentais sa main s’approcher de mes fesses, et renoncer pour revenir finalement plus fort au moment ou je m’y attendais le moins… J’avais envie de tendre mes fesses… j’éprouvais du désir pour cet homme. Désir de sa queue peut être, désir de la douceur de ses mains sur mes fesses, car, comme il le prône si bien, la douleur n’est rien sans la douceur juste après.

 Lorsque la séance de fessée fut terminée, il m’a fait asseoir sur le fauteuil de similicuir. Quelle fraîcheur ! Il m’a bandé les mains…au dessus de ma tête. J’avais toujours les yeux clos. Il a fini par m’avoir au jeu de la bite entière dans la bouche. Et évidemment j’ai eu un réflexe de rejet. Ce n’était pas très agréable…

 Ensuite, il  a tripoté mes tétons, et m’a frappé avec sa queue comme un fouet sur mes joues. Il m’a ordonné de cracher encore sur son gland… Il m’a montré comment cracher. Il a craché sur la commissure de ma bouche. J’ai récupéré sa salive avec ma main pour le branler (toujours les mains jointes). Il m’a ordonné encore de le prendre complètement dans ma bouche. Puis il m’a giflé encore et encore de sa queue. De sa belle queue jusqu'à éjaculer sur mon visage. Il était convenu qu’il n’éjacule pas dans ma bouche, il a éjaculé autour de celle là.

                                                                                     

Après ceci, il m’a envoyé à la salle de bain pour me laver, je n’osais pas retirer mon bandeau. Dans le noir le plus total je me suis rendue jusqu’au lavabo pour me laver le visage. Lorsque je suis revenue il était assis, fumant. Il m’a offert une cigarette, et m’a demandé mes impressions. Et je dois avouer, j’ai aimé. Toujours au bord de la jouissance sans vraiment oser. Il m’a invité à le sucer encore et m’a fait remarquer que je l’avais un peu blessé en le gobant. Que je serais punie pour cela. Cette deuxième partie de séance était plutôt basée sur les gifles. Pas une seule fessée, il a tenu sa promesse. Ma confiance en lui prenait forme. Apres m’avoir frappé de plein fouet au visage avec sa queue et obligé a le sucer encore et encore, il a joui une seconde fois sur mes seins.

 Un peu plus tard, il m’a fait asseoir dans le canapé encore. Et il m’a autorisée a me caresser. J’avais du le supplier plusieurs fois, ma chatte était en feu. Enfin… Merci Monsieur ! Sous son regard inquisiteur je me masturbais avec un plaisir fou. Glissant un doigt dans ma fente à peine humide, parfois deux ou trois doigts… crachant dans ma main pour cesser de ressentir ce feu. J’adorais cela. Je le voyais aimer me voir, je me sentais en harmonie entre mon futur Maître et ce désir de me soumettre. J’ai joui vraiment une première fois.

 

 Nous avons pris le temps de parler de sa façon de voir la soumission, et la domination, il m’a complimenté sur ma rapidité d’apprentissage. (Un moment donné il m’a demandé si j’aimerais qu’il revienne, et je lui ai répondu que ce n’était pas moi qui décidais… Il a souri, et ça m’a encouragée à le sucer avec encore plus d’application. C’est moi qui voulais de lui jusqu’au fond cette fois. Même si ce n’était pas encore vraiment une partie de plaisir). Pendant que je le suçais, j’ai éprouvé l’envie de me caresser encore… Il me l’a interdit. C’étais divinement bon, ce désir, impossible à satisfaire. Je n’ai pas voulu le croire lorsqu’il m’a demandé ou je voulais qu’il déverse son foutre pour la troisième fois en moins de deux heures. Je lui ai proposé mes cheveux. J’avais envie de rire, parce que je pensais à Mary à tout prix. Cette fois, j’étais vraiment détendue. Comblée, bien que je n’avais toujours pas le droit de me toucher et que je sentais mon clitoris palpiter. Il a joui encore une fois dans mes cheveux. Je me suis levée, et il m’a ordonné de m’asseoir et m’a dit : « Maintenant caresse-toi ! » J’ai obéi, et j’ai posé ma main sur ma chatte vraiment humide cette fois. Je me suis branlée… et très rapidement, j’ai joui comme une folle. J’ai inondé le fauteuil en similicuir, me tortillant, les yeux brillants de reconnaissance, pour cet homme qui déjà avait remis sa veste et s’en allait sans autre discours.

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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