Concours

Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

../.. Je n’avais pas encore tout à fait terminé mon thé, il m’a ordonné de me lever, et de lui trouver des foulards, noirs de préférence. Il m’a complimenté sur ma tenue qui lui plaisait beaucoup, et a ajouté que j’avais bien fait de me vêtir de noir. Que c’était sa couleur préférée…

 Je suis revenue de ma chambre avec 3 foulards en main. Un long noir tacheté de blanc, un plus petit noir également, et un grand bleu. Il a totalement ignoré le bleu, et s’est servi du petit noir pour le poser sur mes yeux. Il a fait un nœud relativement serré derrière ma nuque et s’est assuré que je ne voyais rien. Le fait d’être dans le noir le plus total me faisait manquer d’équilibre, perchée sur mes escarpin de 15cm… D’autant plus qu’il me faisait me tourner pour m’inspecter sous toutes les coutures. Il a commencé de déboutonner mon haut, et m’a prié de le retirer car les boutons semblaient être cousus. Je me suis exécutée. J’étais là en jupe fendue et  bustier au milieu de mon salon, les yeux bandés, devant un homme que je connaissais depuis 35 minutes… Une vraie folie… mes idées se bousculaient, je pensais à mille choses. A mon travail, à ma famille, à mes amis, je me disais que j’étais complètement sonnée, et en même temps, quelque chose me poussait à continuer… Je me souviens même avoir eu peur l’espace d’un instant. Je me disais, il se pourrait que ce soit un maniaque, qu’une fois qu’il m’ait à sa merci, il me fasse faire n’importe quoi, et me tue. S’il est un conseil que je peux donner à toute novice, c’est de ne pas se lancer dans une pareille aventure sans avertir préalablement une personne de confiance. (Sans donner de détails, juste lui dire; « Si je ne t’ai pas appelé d’ici à ce  soir, cherche à me joindre, et si je ne réponds pas, fais-toi sérieusement du soucis pour moi, je vais faire un truc fou…) Ca peut paraître ridicule, et pourtant, la folie est partout dans ce monde… partout !

 Je n’ai pas eu le temps de penser très longtemps à tout ça,  je sentais son souffle autour de moi, je le sentais tourner autour de mon corps, il me demandait si je percevais sa queue près de mon visage, j’ai avoué que non. Par contre il fumait une cigarette, et me soufflait la fumée contre mon visage. J’ouvrais la bouche à la recherche de la cigarette, ou à la recherche de sa queue. Puis soudain, d’un geste, il a arraché ma jupe, me laissant en bustier et string.

 Il m’a prié de me pencher sur la petite chaise de bureau, et m’a dit que j’étais sa petite salope, sa petite pute, il m’a demandé de le répéter. « Je suis votre petite pute, et j’aime ça Monsieur ». Il m’a demandé de le dire plus fort en me gratifiant de nombreuses claques sur mes fesses qui devaient rougir déjà un peu… j’avais chaud, et des frissons en même temps. Je me sentais très excitée, et pourtant, chaque fois qu’il passait sa main entre mes cuisses pour vérifier, je ne mouillais presque pas. Juste à peine… Encore une bonne raison de me fesser encore. J’aimais.

 Je ne sais plus à quel moment il a mis sa queue dans ma bouche. Il m’a demandé de le sucer, ce que j’ai fait avec application. Jusqu’à ce qu’il m’oblige à la prendre jusqu’à la garde. Je résistais tant bien que mal, je savais que j’aurais un mouvement de rejet s’il atteignait le fond. Je feintais, tirant la langue et déposant de la salive sur son gland. Je ne sais plus non plus après combien de fessées j’ai osé lui dire « Stop ». Plus que trois… Je sentais sa main s’approcher de mes fesses, et renoncer pour revenir finalement plus fort au moment ou je m’y attendais le moins… J’avais envie de tendre mes fesses… j’éprouvais du désir pour cet homme. Désir de sa queue peut être, désir de la douceur de ses mains sur mes fesses, car, comme il le prône si bien, la douleur n’est rien sans la douceur juste après.

 Lorsque la séance de fessée fut terminée, il m’a fait asseoir sur le fauteuil de similicuir. Quelle fraîcheur ! Il m’a bandé les mains…au dessus de ma tête. J’avais toujours les yeux clos. Il a fini par m’avoir au jeu de la bite entière dans la bouche. Et évidemment j’ai eu un réflexe de rejet. Ce n’était pas très agréable…

 Ensuite, il  a tripoté mes tétons, et m’a frappé avec sa queue comme un fouet sur mes joues. Il m’a ordonné de cracher encore sur son gland… Il m’a montré comment cracher. Il a craché sur la commissure de ma bouche. J’ai récupéré sa salive avec ma main pour le branler (toujours les mains jointes). Il m’a ordonné encore de le prendre complètement dans ma bouche. Puis il m’a giflé encore et encore de sa queue. De sa belle queue jusqu'à éjaculer sur mon visage. Il était convenu qu’il n’éjacule pas dans ma bouche, il a éjaculé autour de celle là.

                                                                                     

Après ceci, il m’a envoyé à la salle de bain pour me laver, je n’osais pas retirer mon bandeau. Dans le noir le plus total je me suis rendue jusqu’au lavabo pour me laver le visage. Lorsque je suis revenue il était assis, fumant. Il m’a offert une cigarette, et m’a demandé mes impressions. Et je dois avouer, j’ai aimé. Toujours au bord de la jouissance sans vraiment oser. Il m’a invité à le sucer encore et m’a fait remarquer que je l’avais un peu blessé en le gobant. Que je serais punie pour cela. Cette deuxième partie de séance était plutôt basée sur les gifles. Pas une seule fessée, il a tenu sa promesse. Ma confiance en lui prenait forme. Apres m’avoir frappé de plein fouet au visage avec sa queue et obligé a le sucer encore et encore, il a joui une seconde fois sur mes seins.

 Un peu plus tard, il m’a fait asseoir dans le canapé encore. Et il m’a autorisée a me caresser. J’avais du le supplier plusieurs fois, ma chatte était en feu. Enfin… Merci Monsieur ! Sous son regard inquisiteur je me masturbais avec un plaisir fou. Glissant un doigt dans ma fente à peine humide, parfois deux ou trois doigts… crachant dans ma main pour cesser de ressentir ce feu. J’adorais cela. Je le voyais aimer me voir, je me sentais en harmonie entre mon futur Maître et ce désir de me soumettre. J’ai joui vraiment une première fois.

 

 Nous avons pris le temps de parler de sa façon de voir la soumission, et la domination, il m’a complimenté sur ma rapidité d’apprentissage. (Un moment donné il m’a demandé si j’aimerais qu’il revienne, et je lui ai répondu que ce n’était pas moi qui décidais… Il a souri, et ça m’a encouragée à le sucer avec encore plus d’application. C’est moi qui voulais de lui jusqu’au fond cette fois. Même si ce n’était pas encore vraiment une partie de plaisir). Pendant que je le suçais, j’ai éprouvé l’envie de me caresser encore… Il me l’a interdit. C’étais divinement bon, ce désir, impossible à satisfaire. Je n’ai pas voulu le croire lorsqu’il m’a demandé ou je voulais qu’il déverse son foutre pour la troisième fois en moins de deux heures. Je lui ai proposé mes cheveux. J’avais envie de rire, parce que je pensais à Mary à tout prix. Cette fois, j’étais vraiment détendue. Comblée, bien que je n’avais toujours pas le droit de me toucher et que je sentais mon clitoris palpiter. Il a joui encore une fois dans mes cheveux. Je me suis levée, et il m’a ordonné de m’asseoir et m’a dit : « Maintenant caresse-toi ! » J’ai obéi, et j’ai posé ma main sur ma chatte vraiment humide cette fois. Je me suis branlée… et très rapidement, j’ai joui comme une folle. J’ai inondé le fauteuil en similicuir, me tortillant, les yeux brillants de reconnaissance, pour cet homme qui déjà avait remis sa veste et s’en allait sans autre discours.

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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