Concours

Bienvenue dans le monde de l'interdit...

           

Amis lecteurs, amies lectrices...

Je vous remercie de vous arrêter quelques instants sur mon blog. Je vous parle ici d'une expérience que je vis en ce moment. L'expérience de la soumission. Un fantasme, le désir de l'interdit... Je me mets ici à nu, corps et âme pour vous faire part des mon avanture avec celui que j'appellerai ici, Maître K !

Un monde parallèle à la vie de tous les jours. Bonne lecture !

(Pour les novices de blog, l'histoire se lit de bas en haut ! )

(Le premier article se nomme "first")

 

Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

../.. Je n’avais pas encore tout à fait terminé mon thé, il m’a ordonné de me lever, et de lui trouver des foulards, noirs de préférence. Il m’a complimenté sur ma tenue qui lui plaisait beaucoup, et a ajouté que j’avais bien fait de me vêtir de noir. Que c’était sa couleur préférée…

 Je suis revenue de ma chambre avec 3 foulards en main. Un long noir tacheté de blanc, un plus petit noir également, et un grand bleu. Il a totalement ignoré le bleu, et s’est servi du petit noir pour le poser sur mes yeux. Il a fait un nœud relativement serré derrière ma nuque et s’est assuré que je ne voyais rien. Le fait d’être dans le noir le plus total me faisait manquer d’équilibre, perchée sur mes escarpin de 15cm… D’autant plus qu’il me faisait me tourner pour m’inspecter sous toutes les coutures. Il a commencé de déboutonner mon haut, et m’a prié de le retirer car les boutons semblaient être cousus. Je me suis exécutée. J’étais là en jupe fendue et  bustier au milieu de mon salon, les yeux bandés, devant un homme que je connaissais depuis 35 minutes… Une vraie folie… mes idées se bousculaient, je pensais à mille choses. A mon travail, à ma famille, à mes amis, je me disais que j’étais complètement sonnée, et en même temps, quelque chose me poussait à continuer… Je me souviens même avoir eu peur l’espace d’un instant. Je me disais, il se pourrait que ce soit un maniaque, qu’une fois qu’il m’ait à sa merci, il me fasse faire n’importe quoi, et me tue. S’il est un conseil que je peux donner à toute novice, c’est de ne pas se lancer dans une pareille aventure sans avertir préalablement une personne de confiance. (Sans donner de détails, juste lui dire; « Si je ne t’ai pas appelé d’ici à ce  soir, cherche à me joindre, et si je ne réponds pas, fais-toi sérieusement du soucis pour moi, je vais faire un truc fou…) Ca peut paraître ridicule, et pourtant, la folie est partout dans ce monde… partout !

 Je n’ai pas eu le temps de penser très longtemps à tout ça,  je sentais son souffle autour de moi, je le sentais tourner autour de mon corps, il me demandait si je percevais sa queue près de mon visage, j’ai avoué que non. Par contre il fumait une cigarette, et me soufflait la fumée contre mon visage. J’ouvrais la bouche à la recherche de la cigarette, ou à la recherche de sa queue. Puis soudain, d’un geste, il a arraché ma jupe, me laissant en bustier et string.

 Il m’a prié de me pencher sur la petite chaise de bureau, et m’a dit que j’étais sa petite salope, sa petite pute, il m’a demandé de le répéter. « Je suis votre petite pute, et j’aime ça Monsieur ». Il m’a demandé de le dire plus fort en me gratifiant de nombreuses claques sur mes fesses qui devaient rougir déjà un peu… j’avais chaud, et des frissons en même temps. Je me sentais très excitée, et pourtant, chaque fois qu’il passait sa main entre mes cuisses pour vérifier, je ne mouillais presque pas. Juste à peine… Encore une bonne raison de me fesser encore. J’aimais.

 Je ne sais plus à quel moment il a mis sa queue dans ma bouche. Il m’a demandé de le sucer, ce que j’ai fait avec application. Jusqu’à ce qu’il m’oblige à la prendre jusqu’à la garde. Je résistais tant bien que mal, je savais que j’aurais un mouvement de rejet s’il atteignait le fond. Je feintais, tirant la langue et déposant de la salive sur son gland. Je ne sais plus non plus après combien de fessées j’ai osé lui dire « Stop ». Plus que trois… Je sentais sa main s’approcher de mes fesses, et renoncer pour revenir finalement plus fort au moment ou je m’y attendais le moins… J’avais envie de tendre mes fesses… j’éprouvais du désir pour cet homme. Désir de sa queue peut être, désir de la douceur de ses mains sur mes fesses, car, comme il le prône si bien, la douleur n’est rien sans la douceur juste après.

 Lorsque la séance de fessée fut terminée, il m’a fait asseoir sur le fauteuil de similicuir. Quelle fraîcheur ! Il m’a bandé les mains…au dessus de ma tête. J’avais toujours les yeux clos. Il a fini par m’avoir au jeu de la bite entière dans la bouche. Et évidemment j’ai eu un réflexe de rejet. Ce n’était pas très agréable…

 Ensuite, il  a tripoté mes tétons, et m’a frappé avec sa queue comme un fouet sur mes joues. Il m’a ordonné de cracher encore sur son gland… Il m’a montré comment cracher. Il a craché sur la commissure de ma bouche. J’ai récupéré sa salive avec ma main pour le branler (toujours les mains jointes). Il m’a ordonné encore de le prendre complètement dans ma bouche. Puis il m’a giflé encore et encore de sa queue. De sa belle queue jusqu'à éjaculer sur mon visage. Il était convenu qu’il n’éjacule pas dans ma bouche, il a éjaculé autour de celle là.

                                                                                     

Après ceci, il m’a envoyé à la salle de bain pour me laver, je n’osais pas retirer mon bandeau. Dans le noir le plus total je me suis rendue jusqu’au lavabo pour me laver le visage. Lorsque je suis revenue il était assis, fumant. Il m’a offert une cigarette, et m’a demandé mes impressions. Et je dois avouer, j’ai aimé. Toujours au bord de la jouissance sans vraiment oser. Il m’a invité à le sucer encore et m’a fait remarquer que je l’avais un peu blessé en le gobant. Que je serais punie pour cela. Cette deuxième partie de séance était plutôt basée sur les gifles. Pas une seule fessée, il a tenu sa promesse. Ma confiance en lui prenait forme. Apres m’avoir frappé de plein fouet au visage avec sa queue et obligé a le sucer encore et encore, il a joui une seconde fois sur mes seins.

 Un peu plus tard, il m’a fait asseoir dans le canapé encore. Et il m’a autorisée a me caresser. J’avais du le supplier plusieurs fois, ma chatte était en feu. Enfin… Merci Monsieur ! Sous son regard inquisiteur je me masturbais avec un plaisir fou. Glissant un doigt dans ma fente à peine humide, parfois deux ou trois doigts… crachant dans ma main pour cesser de ressentir ce feu. J’adorais cela. Je le voyais aimer me voir, je me sentais en harmonie entre mon futur Maître et ce désir de me soumettre. J’ai joui vraiment une première fois.

 

 Nous avons pris le temps de parler de sa façon de voir la soumission, et la domination, il m’a complimenté sur ma rapidité d’apprentissage. (Un moment donné il m’a demandé si j’aimerais qu’il revienne, et je lui ai répondu que ce n’était pas moi qui décidais… Il a souri, et ça m’a encouragée à le sucer avec encore plus d’application. C’est moi qui voulais de lui jusqu’au fond cette fois. Même si ce n’était pas encore vraiment une partie de plaisir). Pendant que je le suçais, j’ai éprouvé l’envie de me caresser encore… Il me l’a interdit. C’étais divinement bon, ce désir, impossible à satisfaire. Je n’ai pas voulu le croire lorsqu’il m’a demandé ou je voulais qu’il déverse son foutre pour la troisième fois en moins de deux heures. Je lui ai proposé mes cheveux. J’avais envie de rire, parce que je pensais à Mary à tout prix. Cette fois, j’étais vraiment détendue. Comblée, bien que je n’avais toujours pas le droit de me toucher et que je sentais mon clitoris palpiter. Il a joui encore une fois dans mes cheveux. Je me suis levée, et il m’a ordonné de m’asseoir et m’a dit : « Maintenant caresse-toi ! » J’ai obéi, et j’ai posé ma main sur ma chatte vraiment humide cette fois. Je me suis branlée… et très rapidement, j’ai joui comme une folle. J’ai inondé le fauteuil en similicuir, me tortillant, les yeux brillants de reconnaissance, pour cet homme qui déjà avait remis sa veste et s’en allait sans autre discours.

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

Avant cette première véritable rencontre, nous avons un peu bavardé via le tchat encore !

Mon futur Maître a pris le temps de m’expliquer ce qu’il attendait de moi, ce qu’il aimait… Il m’a également téléphoné, en prenant soin de ne pas divulguer son numéro. En aucun cas je ne suis censée le déranger… c’est lui qui décide. Il propose, j’accepte, je refuse selon mes possibilités. Dominateur oui, mais courtois et compréhensif. Il saisit que la soumission n’est pas le centre de ma vie, mais juste une expérience. Merci Monsieur !

Les impondérables de la vie ont fait que je ne l’ai pas vu avant son départ de chez lui pour venir me trouver chez moi.

 Mais il a pris soin de ma laisser un message très explicite : Le voici.

 Bon vu que je pars bientôt s'était pour te dire que je t'appelle quand j'arrive à **** pour que tu me guides chez toi. Prépare toi bien...des dessous TRES sexy, uniquement string! Ne mets pas de parfum, je n'aime pas ça! Joli maquillage, le plus sexy possible. Ensuite si tu as une tenue strict mais classe et sexy genre jupe fendue etc...mets là! Voilà...Ton Maître va bientôt venir s'occuper de toi… A tout de suite Ange…

 J’étais prête, je l’attendais, fébrile… Lorsqu’il est arrivé à la gare de ma ville, je l’ai guidé aussi bien que possible jusqu’à ma demeure, par téléphone. A l’heure prévue, il a sonné à la porte de mon appartement.

Selon son désir, je portais une jupe noire, longue fendue. Un petit haut, dos nu, noir également. Maquillée très subtilement dans des tons gris noirs. Et j’étais perchée sur des talons de 15cm de haut ! Activité que je ne maîtrise encore que très partiellement ! Je ne portais pas de parfum selon son désir. J’ignorais la raison pour laquelle il ne voulait pas parfum, alors j’avais renoncé aussi à brûler un bâton d’encens. J’ai appris par la suite qu’il aimait sentir l’odeur réelle de la peau, et que l’encens ne le dérangeait pas.

 -          Bonjour Monsieur, vous désirez boire quelque chose ?

 -          Bonjour Ange, oui, un café, et un cendrier s’il te plaît…

 -          Je regrette, mais je n’ai pas de café. Je n’en bois pas ! Un thé ? (Ca commençait mal !)

 (Il a accepté le thé, sans commenter. Ca se passait de commentaire…)

 J’ai préparé le thé, toujours aussi tremblante. J’essayais de me contenir. Une douce euphorie m’envahissait. Il m’a détaillé. La nuque, les épaules, le front, le maquillage. Il m’a dit qu’il était satisfait. Il m’a fait me lever, me tourner, il m’a touchée… Puis nous avons bu le thé. Je ne savais pas trop quelle attitude adopter. Me mettre plus basse que lui, assez loin, plus près… Il m’a averti qu’il allait me poser des questions – parfois crues- sur ce que j’aimais, ce que je n’aimais pas, ce que j’avais fait, ce que je souhaitais refaire ou non. Afin de poser les bases et les règles de notre jeu. Son jeu, auquel il allait m’initier.

C’est à ce moment là qu’il m’a dit que je devrais l’appeler « Monsieur » lors de nos trois premières entrevues. Puis qu’ensuite il me donnerait peut-être l’autorisation de l’appeler « Maître ». Que je serais punie pour avoir dit certaines choses, et qu’il me donnerait une belle série de fessée. Que je devrais être capable d’évaluer mon seuil de douleur, car, des que j’aurais dit « stop », il me fesserait encore trois fois avant de cesser. Ses explications sur sa manière de procéder me plaisaient, m’excitaient déjà… ./..

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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Lundi 7 novembre 1 07 /11 /Nov 00:00

                                          

Il est temps de me lancer... Je tiens à vous raconter la rencontre fortuite avec mon futur Maître.

Songeuse à l'idée de ma fraîche rupture, (annoncée, mais pas encore expliquée) je naviguais tranquillement sur un site de Tchat dont je tairai le nom. Je ne sais pas exactement ce que je recherchais, l'Amour avec un grand A, l'aventure peut être...

Je ne pouvais m'empêcher de penser que celui qui me quittait en ce moment aurait pu être l'homme de ma vie. Il est ami, amant formidable, capable de me faire partager ses folies, et Maître. Certainement qu'il aurait pu être mon Maître. Pas uniquement un Maître sexuel, mais un Mâitre à penser, un Maître de vie... Il aurait pu, mais il manquait l'ingrédient le plus indispensable à la réalisation de ce grand challange ! L'amour. Après plusieurs mois, il m'a avoué qu'il n'avait pas de sentiments profonds à mon égard,qu'il me trouvait trop agaçante, trop ceci, pas assez cela. Qu'il n'est pas à l'aise, et que surtout, il ne supporte pas mon fils, cet enfant auquel je voue toute ma vie...  Evidemment, c'etait sans appel...

C'est donc plongée dans ces pensées que mon attention fût captée par cet homme, dans les 35 ans, cadre, apparament cultivé qui écrivait sans faute d'orthographe... séparé depuis peu, et sans enfants ! Ce n'est qu'après avoir parlé de choses banales de la vie, qu'il m'a avoué être un Maître soft, à la recherche d'une soumise.

Je n'ai pas trop évalué sur le moment ce que ca pouvait représenter de se lier à une personne de cet accabit, mais cette idée me faisait trembler, m'excitait...

Nous avons (Enfin, il a) convenu d'un certains nombre de règles, (Pas d'histoire d'amour, juste le plaisir, juste l'extase, je devrais l'appeler Monsieur jusqu'à ce que je mérite qu'il soit mon Maître. Il me tutoierait, je le vousoierais, et il m'appellerait "Ange". Ange SA SOUMISE...

Un rendez vous me fût donnée pour le lendemain après midi même... 

 

Par Ange - Publié dans : Récit érotique
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